Pour les chercheurs

Données CanCOLD

Grâce aux évaluations longitudinales et à la caractérisation détaillée des sujets d’étude au moyen d’une gamme d’outils d’évaluation, CanCOLD est une ressource inestimable pour catalyser la recherche sur la MPOC.

Opportunités de Formation

CanCOLD assure la formation des futures générations de cliniciens, de chercheurs, d’étudiants et de personnel de recherche qualifié. Ci-dessous, nous présentons notre avenir; nos stagiaires de recherche exceptionnels qui ont fait usage des données de CanCOLD pour faire avancer les connaissances sur la MPOC. 

Pour en savoir plus sur les opportunités de formation, veuillez contacter un chercheur principal à l’un des sites de collecte de données CanCOLD

“L'étude CanCOLD a enrichi ma thèse de données concrètes et rigoureuses, tout en développant mes compétences en matière de résolution de problèmes et ma capacité à articuler des concepts complexes.”

Tahlil Ahmed Parisa

Étudiante à la Maîtrise

Université McGill

Sukhraj Virdee

Candidat au PhD

Univerisité Métropolitaine de Toronto  (TMU)

"Avec les nombreuses données cliniques fournies par CanCOLD, j'ai renforcé mes compétences dans la gestion de grands ensembles de données pour répondre à des questions cliniques importantes concernant les maladies pulmonaires. "

Interpellée par les défis pesant sur le système de santé du Bangladesh, Tahlil a décidé de poursuivre ses études en Épidémiologie sous la direction du Dr Jean Bourbeau. L’étude clinique de patient(e)s atteint(e)s de MPOC lui a permis d’associer une augmentation du taux d’éosinophiles sanguins (EOS), un type de globules blancs, à un risque accru d’exacerbation ou de poussées actives de MPOC. Ce résultat souligne ainsi l’utilité possible du EOS comme prédicteur d’exacerbations de la MPOC et son utilisation possible pour administrer un traitement préventif plus précoce. Avec l’ambition d’être une scientifique des données, Tahlil vise à exploiter le big data pour faire avancer la recherche clinique, en particulier sur les populations sous-desservies.

“Je m’intéresse à la création de biomarqueurs quantitatifs de tomodensitométrie […] pour prédire l’évolution de la maladie chez les personnes atteintes de la MPOC”, explique Sukhraj, étudiant en physique médicale dans le laboratoire du Dr Miranda Kirby. Sa recherche présente la méthode novatrice “Normalized Join-Count” (NJC), qui s’avère être un biomarqueur de tomodensitométrie plus précis que les approches actuelles. En évaluant la compacité et la forme des grappes d’emphysème, le NJC permet de distinguer efficacement la gravité de la MPOC chez les patients. Sukhraj aspire à une carrière en physique médicale afin d’avoir un impact positif sur les personnes souffrant de diverses pathologies.

 

"La nature multicentrique de CanCOLD m'a permis de rencontrer un large éventail de collaborateurs à travers le Canada et de tisser de véritables liens afin d'élargir mon réseau de recherche".

Daniel Genkin

Candidat au PhD

Univerisité Métropolitaine de Toronto  (TMU)

Sophie Collins

Candidate au PhD

Univerisité de l’Alberta

"Utiliser l'ensemble de données CanCOLD a non seulement amélioré ma compréhension de la MPOC, mais m'a également permis d'utiliser des données épidémiologiques pour répondre des questions physiologiques, une opportunité tout à fait unique !"

Daniel est un stagiaire en ingénierie biomédicale dans le laboratoire du Dr Miranda Kirby. Il est passionné par les affections extrapulmonaires qui se manifestent quand on vit avec la MPOC. Il se concentre présentement sur la perte involontaire de masse musculaire (sarcopénie) dans la région thoracique et a développé avec succès un processus entièrement automatisé utilisant une tomodensitométrie (CT Scan) à faible dose pour recueillir plus facilement des mesures quantitatives CT de la région des muscles pectoraux (PMA). Les résultats de la PMA donnent une idée précise de la fonction pulmonaire et permettent de distinguer les patients en bonne santé des patients atteints de la MPOC. À l’avenir, Daniel utilisera ses compétences pour poursuivre un parcours académique (post-doctorat) ou industriel.

 

Sophie étudie les Sciences de la Réadaptation sous la direction du Dr Michael Stickland. Ses derniers travaux suggèrent que la faible capacité d’exercice ressentie par les personnes atteintes de la MPOC est associée à un dysfonctionnement/destruction vasculaire pulmonaire. Ses résultats suggèrent qu’une capacité d’exercice accrue pourrait avoir des effets protecteurs contre la progression du dysfonctionnement/destruction vasculaire pulmonaire dans la MPOC. Après son doctorat, Sophie prévoit approfondir ses connaissances et ses compétences en physiologie clinique dans le cadre d’études postdoctorales.

" J'ai acquis des compétences inestimables en analyse statistique et en interprétation physiologique des données, ainsi qu'une compréhension globale de la manière d'aborder une question scientifique, du début jusqu'au stade final."

Alexandra McCartney

Étudiante en Médecine

Univerisity of Ottawa 

Kalysta Makimoto

Candidate au PhD

Univerisité Métropolitaine de Toronto  (TMU)

"Je me suis rapprochée de mes objectifs professionnels en travaillant sur des projets dans le cadre de CanCOLD. J'ai pu acquérir une compréhension plus approfondie de la MPOC, en particulier aux stades légers de la maladie, ce qui m'a permis de générer diverses idées de projets de recherche et d'entamer de nouveaux projets !"

La nature solidaire du groupe et l’intérêt constant pour la physiologie respiratoire ont rendu ce travail sans cesse gratifiant”, déclare Alexandra en décrivant son expérience dans le laboratoire du Dr Nicolle Domnik. Alexandra étudie actuellement la relation entre les troubles chroniques du sommeil et la capacité d’exercice chez les adultes âgés, atteints ou non de la MPOC, et souhaite contribuer à détailler davantage le mécanisme qui existe entre les deux. À l’avenir, elle continuera à s’impliquer dans la physiologie appliquée et dans la recherche épidémiologique en tant que médecin.

 

 

Étudiant la Physique Biomédicale dans le labo du Dr Miranda Kirby, les intérêts de recherche de Kalysta sont centrés sur l’analyse quantitative des images de CT Scan et le machine learning, une combinaison de méthodes qui peut identifier des anomalies structurelles dans les poumons et aider à classer les cas de MPOC. Ses travaux actuels, axés sur les patient(e)s non diagnostiqué(e)s à risque de MPOC, montrent la capacité de l’analyse de l’imagerie CT à améliorer la prédiction de la progression de la MPOC et celle de la baisse de la fonction pulmonaire lorsque combinée au machine learning et aux données démographiques des patient(e)s. Passionnée par la recherche, Kalysta compte poursuivre son parcours scientifique en faisant des études post-doctorales.

 

 

“Mon travail sur les données CanCOLD m'a amené à lancer des projets avec d'autres cohortes aux États-Unis et au Royaume-Uni, ce qui permet de mieux comprendre la relation entre la MPOC et les maladies cardiovasculaires”

Suurya Krishnan

Candidat au PhD

McGill Univerisity

Meghan Koo

PhD candidate

Toronto Metropolitain Univerisity (TMU)

Suurya, étudie dans la Division de Médecine Expérimentale sous la supervision du Dr Jean Bourbeau où il explore la relation entre la MPOC et les maladies cardiovasculaires (MCV). Ses travaux révèlent (1) que les personnes présentant une altération légère à modérée de la fonction pulmonaire, qu’elles soient ou non atteintes de MPOC, courent un risque accru de maladies cardiovasculaires existantes ou futures, et (2) que l’ajout d’une altération de la fonction pulmonaire aux scores de risque de maladies cardiovasculaires établis n’améliore pas la prédiction des maladies cardiovasculaires. Cela souligne la nécessité de mettre au point un outil d’évaluation des MCV adapté aux personnes souffrant d’une altération de la fonction pulmonaire, qui prenne en compte les facteurs liés à la MPOC au-delà de la fonction pulmonaire, afin d’aider les médecins à cibler les patients à haut risque en vue d’une intervention précoce. Suurya souhaite pratiquer la médecine familiale à l’avenir.

 

 

 

As a CAMPEP Medical Physics student supervised by Dr Miranda Kirby, Meghan is deeply involved in quantitative CT lung imaging. Her work showed that integrating multiple quantitative CT measurements with CT visual emphysema scores was more effective/comprehensive than solely relying on the visual scores when predicting baseline and lung function decline in COPD patients. These results can help identify reliable biomarkers for early diagnosis and management of COPD in clinical settings. Meghan plans to pursue a CAMPEP-accredited residency in therapeutic medical physics.

 

 

 

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